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1. |
Ce Jour
03:30
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Ce jour n’est pas arrivé Ce jour s’est fait possédé
Ce jour s’est tu en chemin Au détour d’une certitude Fixé par son habitude Ce jour se perd entre des reins
Ce jour opère à vue d’œil Il n’a pas besoin de moi Ce jour me fout de sa gueule
Ce jour n’est pas ce que je pense Ce jour n’a pas de naissance
Ce jour Ce jour quant bien même
Ce jour là je n’y crois plus, ce jour là je t’ai vu Ce jour a-t-il un cœur ? Est-ce que les chats sont gris ?
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2. |
Indéfiniment
05:14
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J'aimerai bien oublier les regrets les remords accumulés
J'aimerai bien oublier la mélancolie que j’me suis infligée
J'aimerai bien oublier les leçons jamais retenues
J'aimerai bien oublier les moments d'alcool et de fumer (qui me font oublier)
REFRAIN 1
Si je pouvais effacer tous ces souvenirs des souffrances infligées et de l'amour oublié. Me rappeler seulement de moi, Innocent petit enfant.
Je me rappellerai bien des douceurs de l'enfance et de ses bêtises
Je me rappellerai bien des senteurs du matin et de ces caresses
Je me rappellerai bien de ce qui me faisait voyager
Je me rappellerai bien de tu sais très bien
REFRAIN 2
Je ne revivrai pas le passé désabusé, seulement me souvenir des moments immaculés. Me laisser attraper par l'instant,
Indéfiniment, sans faux-semblant
FINAL Et renaître... Repartir de zéro Exploser les remords Obliger le bonheur Me donner à l'amour Oublier Me rappeler Et se souvenir du reste
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3. |
Qui me Tourne en Rond
05:54
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Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas Ils nous conduisent là ou se posent nos pas La Terre promise n'était qu'à deux doigts La sortie de crise est un faux débat
Un jour s'achève et la nuit ne viendra pas Je me relève et la souris est un rat Si c'est un rêve c'est qu'il était une fois Si c'est la grève j'irai au cinéma
Et je vois le monde Sur les écrans des projections Et je vagabonde Entre les murs des sensations
J'ai pas le temps pas une goutte à moi Et je m'essouffle au grès d'un agenda Mes rendez-vous ne rendent pas les bras Mais ou va l'air que l'on ne respire pas
L'amour est là mais j'n'ai pas la tête à ça Comme un insecte qui n'sait pas qu'il ne sait pas Peux-tu me sortir un peu de ce coma Changer de chaîne je verrai ce qu'on verra
Et je vois le monde Sur les écrans des projections Et je vagabonde Entre les murs des sensations
Est-ce la colère qui me poussent tout au fond Où est la lumière que je presse le bouton J'irai dans l'enfer pour qu'elle brûle ces illusions Je laisserai faire le jeux qui me tourne en rond
qui me tourne en rond qui me tourne en rond qui me tourne en rond qui me tourne en rond …
Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas Ils nous conduisent là ou se posent nos pas
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4. |
Je t'écris
04:24
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… chut... écoute… souviens-toi…
de ce silence tombent près du lac sous la brume ruisselante - matin d’opale matin d’opale - quelques mots au fusain sur ton sein lourd un peu meurtri souviens-toi la cabane endormie nos corps gourds et ton regard sur le plafond
dans ce silence tu me reviens dans ce silence tu me reviens et tombent en confettis tes soupirs cristallins
tu me manques
me manque notre odeur sur nos corps près du lac ce doux parfum d’exil dans un silence intact
tu te tournes sur ton épaule la cicatrice intime d’un de ces vaccins d’enfance un tout petit pli dans ton cou puis ce parfum ruisselant
tes yeux noirs comme un vortex ta main sur mon plexus tes blessures sont intactes tu m’emmènes je m’engouffre tu m’emmènes je m’engouffre
je t’écris en plein silence dans un vacarme sourd à deux brassées de la démence en plein vacarme comme dans la tête d’un sourd tu me manques tu me manques
ma muette Ô mon amante ma muette Ô mon amante
tu me manques
je t’écris en plein silence dans un vacarme sourd à deux brassées de la démence en plein vacarme comme dans la tête d’un sourd
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5. |
Gentil Chaos
03:19
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plus beaucoup de temps à perdre,
à perdre les restes de ma mémoire,
ma mémoire de l'instant oublie le futur,
le futur s'efface dès que j'ouvre mes yeux,
mes yeux n'y voient plus que du feu,
feu mon âme se laissait distraire par ce gentil chaos.
chaotiques et psychotiques sont mes pensées.
panser mon cœur pendant qu'il en est encore temps
tant de douleurs abreuvent mon corps
mon corps va disparaître
disparaître autour de mon cœur
mon cœur va réapparaître
paraitre vivant, paraitre vivant, paraitre vivant, paraitre vivant
mourir encore
libre de choisir
de faire mourir le paraître
ne faire qu'un avec le reste
de faire mourir le paraître
ne faire qu'un avec le reste…
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6. |
Pardonner (avec Axello)
03:57
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Partie 1 :
Entre l'espace et les abysses
Combien de centimètres ?
Combien de respiration
pour zero pardon ?
Mes pieds sont englués...
Mes idées sont enlysées
Je veux être nus...
Me sentir bien habillé
J'entends des coups de feu,
des crissements de pneu !
Ma vie va s'éteindre
Ai-je vraiment vécu d'mon mieux ?!
Combien de temps me reste t'il ?
La montre indique qu'il est toujours minuit !
Ma mémoire s'efface...
Je suis vidé des frasques
Je suis oublié...
La vie s'est relancée
Qu'est qu'il y aura à pardonner ?
Que restera t'il à nous aimer ?
Vais-je survivre à mon vivant ?
Vais-je pleurer une fois mort encore ?
Partie 2 :
Entre l'espace et les abysses
C'est nos vies qui s'enlisent
Toujours plus de maillons
Toujours plus de bâillons
Les problèmes poussent
C'est bientôt la moisson
Mais pour les solutions
C'est jamais la Bonne saison
Mais qu’est-ce qu'on fait planté là
De plus en plus gras
La semence coule sur des terres infertiles
Et les larmes coulent de nos visages infantiles
Un froid arctique dans nos cœurs
Un as de pique en guise de fleur
Et tu reste sur le carreau si tu n'arrive qu'à être seul
Plus de chance de fané que d'être un trèfle a quatre feuille
Pour une branche qui pousse
C'est deux qui sont coupé
Et tu te demande pourquoi nos veines sont en train de s'assécher
Sans même savoir pourquoi nous somme des arbres déracinés
Et on roule sur des rails de mieux en mieux dessinés
Qui nous conduisent au bout du chemin
C'était programmé une espèce décimé pas sur qu'on va vous manquer
J'ai souillé mes frère souiller ma terre
A elle de décider si je mérite d'y retourner
J'ai souillé mes frères souillé ma terre
A elle de décider si elle veut bien me pardonner ...
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7. |
Lueur
04:08
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8. |
La Lumière
04:40
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La lumière
brule mes songes
La nuit
fait fondre hier
et les jours d'avant
Je tombe dans un abyme
de sombre douceur.
Mes sens ne font plus qu'un.
Je suis libre.
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9. |
Peut Être Pour Toujours
04:13
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10. |
Promis Juré Caché
04:23
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Qu'est ce que tu vas faire de moi ? Promis, juré, caché, si tu ne me retrouve pas Qu'est ce que tu vas faire de moi ?
Qu'est ce que tu vas faire de ça ? Tout ce que j'ai entassé, est-ce que tu le bruleras ? Qu'est ce que tu vas faire des cendres ?
Qu'est ce que tu répètes tout bas ? Dans le grenier, le plancher craque sous tes pas
Qu'est ce qui fait qu'on ne fait pas ? Ou bien qu'on ne fait plus, c'était loin le début Tellement loin au début
Qu'est ce que tu vas faire de moi ? Quand j'aurais l'air de ne plus m'en faire Du pourquoi on reste là
Retourne vite au grenier Regarder les belles années Des souvenirs heureux On s'aimait bien, sans sérieux
Qu'est ce que tu vas faire de moi ? Si je ne monte plus au grenier (te serrer) Où tu installes tes beaux quartiers
Je descends les étages Je descends dans la cave Remonter la vieille pendule Seul bruit vivant dans ma cellule
Qu'est ce que tu vas faire de moi ? Qu'est ce que tu vas faire de moi ?
Promis, juré, caché, si tu ne me retrouve pas là-bas
Me reconnaitras-tu ? Quand j'aurai disparu Comme un fantôme dans la maison Si tu me croises, je te demande pardon.
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11. |
La Pluie Darc
04:00
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Larmes qui coulent Gouttes quittent l’œil (Des) Choses qui trainent Des bouts d’orgueil
Dehors, c’est déluge Et c’est étrange D’aller si bien Quand le temps change
J’aime la pluie J’aime cette pluie
C’est diluvien C’est la pluie Darc Je me sens bien C’est le grain Darc
L’averse accourt La nuit s’épanche C’est à quelle heure Qu’amour déclenche ?
Dehors, c’est déluge Et c’est étrange D’aller si bien Quand le temps change
J’aime la pluie J’aime cette pluie
C’est diluvien C’est la pluie Darc Je me sens bien C’est le grain Darc
Un peu, c’est tout les remords inutiles et hors d’usage. Serais-je perdu un an et un jour ? Et quel crime ? Nathanael , Ne m’en veux pas de t’en vouloir, si tu vas la-bas, ça ne sert à rien, la vie est mortelle. La main au cœur, je me souviens, je me rappelle la pluie qui tombe mes amis tour à tour. Une angoisse perpétuelle, serait-ce le futur Psaume 23 ? J’aime l’amour par habitude, L.U.V. Rouge rose, comme nos 2 cœurs sans mémoire,
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12. |
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Je vois de haut tes bas nylons
je flotte au dessus des enfers
je suis ici mais déjà loin
Je disparais à tes yeux verts.
Le vent bouscule. Maladroits
mes gestes ne mènent nulle part.
étais-je ici je ne sais plus.
Je te vois souvent rentrer tard
Je disparais de tes projets
je disparais, je me confond.
Je pleure des larmes de croco
et tout cela m’arrange au fond .
Sous ce toit sombre où je te croise
je sens venir la transparence.
Tu me trébuches, tu me tombes.
Je ne reconnais plus la danse. Tu ne reconnais plus la danse
Serais je nue plus mort que vif
pour te voir prêt(e) à dire adieu.
Dans ta carcasse de plume et vent
y aurait il un cœur palpitant ?
Les miroirs ne répondent plus
j’ai disparu, j’ai disparu…
A ton regard, tes battements
aux souvenirs du temps présent. j’ai disparu , j’ai disparu…
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